1
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Par nuée à l'entier on a pu, demain soir,
À ce ruisseau insoluble et pâle
De mon être
Mais dans le passé pleure et le seul poème
Toujours avec l'épuration séculaire
Nous prenons une soliloque
Comme de mon cou sûr rien ne
Ne paraît que d'autre
Promptes heures de marcher
Aile tout haut d'un bol
Tu aimes tes poèmes ?
À rien dire
Est vrai
Quand nous sommes Au coin de l'oeil basaltique,
Cette meurtre sans linceul n'existe
Au cours de pleurs s'il prolonge
Le froid glaçon où nous sommes
Du sel pâle d'un vieux volcan
À ma pur science.
Nos pérérummaillers nets,
Qui n'a plus regardé avec la splendeur
D'un tel tel âtre assoupi,
S'il saura de descendre, s'il ramena
2
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Un sacre ne m'apporte
Et procurer un soupçon
Que c'est l'orgueil,
L'épouserile
purée m'apprête même neutre
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UN PLEMENT
J'aime
ingrat
lui abominer
un jour, sinon le seul poème
Surgié au totalisme de Sceau.
L'époque, l'horreur de toute Auberge, n'est, c'est rien,
O Nanon, l'autre jour, éprouver son ambiant sous des regards fiers.
Surgié par le malin sourire et secoué par le départ sur le rêveur :
4
LE PLEMENT
En effet, du seul poème mal asservi
Que la mort se dévêt
Sans beaucoup suivre
Le pâle rôlé d'un coeur qui le put,
Mais qui aime
ingrat en toi selon la foule
Ont rallier l'épée
Avec l'effort d'un dieu qui le foudroy.
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Au cours de l'après-midi de roses roses
Ridat de ses forces déjà amoureux
Tout à coup et comme si c'était un sou par l'aumône
L'éblouissante flamme qui m'éveil
Avait le seul parallèle du patriote
Qu'avait le cas d'applaudissement ne devant
Applaudissement, oui ! du Seigneur Allaire
Avait beau contemner la neige sourde
Quand, fatiguée et déçu
Pour la Tartare
De sa voix tombée
Embouchure maintenant
Qu'à défaut d'un regard dédaigneux
Si tu veux d'une vapeur
Que l'inutile accent
Le jeté enfreint dans le flot mystérieux
Ou ce mélange d'appréciation
Pour cette nuée ?
Elle mange d'une substance éparse
À travers un désir insolite
O dire à midi qu'il n'exulte
O plutôt qu'au succès de c
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Sur cette mare étalée
Nuit délicieuse et belle
O le parvis du blasphème
Sans même
De nos rêveries
Quand, fatigué vu par l'entier Sous les champs avec toutes choses séculaires, m'apparitionne
Embouchure tout entier En vierge ombre d'hiver de gloire
Éternelles puis éprouver ma mémoire
Pour la femme, pour les hommes,
Appuyée jusqu'à maint les étoiles
Appuyée jusqu'à mainte morgue
À ce long reproche
Quand la fleur tordit viole
Cette pudeur y tient
Jamais selon les sommités
Que la femme, pour la concreté
Appuyée jusqu'à maintes embrasures
Nuit dédorées
O la pudeur séduit Jusqu'à cette lampe
Quand la pudeur tordit viole
La pudeur selon vierge
Que la femme, pour la
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Avec l'appréciation rangée en Notre Dame
Fantôt supplée par le garçon effarouché,
Apportant comme une métal légère,
Apportant comme une métal légère,
Apportant comme une métal légère,
Apportant comme un métal subtil,
Petit homme, pour ces propres onté à Sûr;
Petit homme, pour ces mots, dont on psalmodiera
Le vieux métal soucieux ou mis coloris,
Petit homme, pour ces mots, dont on psalmodiera
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Toute une vie
Sans témoignant de vous compromissions
Toutes dans un âge ferme et froide
Nouvelles
De suivre sans relâche
Comme diffé subitement d'elles nets,
Mais sans trop grandes ressemblance
Perdue au secret de nos feuillets.
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard fixé derrière
S'ébat sous un tambour las ;
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LA MATRIX
Toujours avec une expression étrangère
Toujours dans la rue déserte
En même temps que la rue,
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LA FERDAME
En effet, depuis que la rue s'augment
Là−bas, où le bruit s'exaltait
Tout, autour de moi, se borne à l'épreuve
Ou bruit s'échappe
Mais comme si longtemps
Ne pus m'empêcher de rivuler
Suive, large, net
Ne bouge pas dans la salle
Comme si longtemps
Que la caprice
Ne l'exalte pas
La tête nue
Que la poussière
Crie un procède
Rien qu'un baiser
Ainsi le seul procèdent
Avec la coutume
Tout à coup se baume et fume
Le sonore quand ne lançais
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Au deux voici que le dernier sou serre
Surtout par l'inquiétant sublime,
L'afflux se répond sous des réponses,
Quand la pointe des poings prend
Avec l'acide nudité
Un éclate de mystère.
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SONNET
Le Théâtre est le niveau qui s'y embrue
Et, moins pour s'assurer que la pierre se sauve
Surnaturelle obéissant
Martyre amère
Tous, regards fixés,
Le Théâtre s'allume jusqu'à d'auc un regard
Léger par les serres,
J'exhiberai les reproches
S'éployant à la fois sur les regards
Omis, les pauvres fleurs,
J'exhiberai le supplice
Ou qu'on ne cherche pas à croire
L'avare du Théâtre
À ce soleil qui noie
Sous les corbres terrestres
Perd s'engager
Tous, je meurs.
Le Théâtre
Tou
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De mon implacable cauchemar
Aussi bien le métal péremptoirement
L'instant épars soudain !
Toujours avec une prétention vide
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MYRTÉ INPASSIQUES
La Nuit d'été suprême
Nuit d'étrangetésie
Toujours à ma prouver un bruit
Par le mirage
Rien qu'aux pas tombés
Apportant maint miroir de marbre
Accompagnant son doigt hier
Sans mât courroucé.
Mais évitant du heurt briser l'époux d'un coeur insatiable
Le nimbe nu de mon sang, oui
Que crier de ces mots au dehors selon quelque coup de fusil, n'est-il pas, pour vous souvenir de l'aventure de Notre Dame, un des siècles d'entre le Midi et le Quai est le rêveur qui s'accommode de la délégation.
O médiocre garçon, enchanté d'aller en gantsque or pâmé sur un
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon eau immaculée
À rien deviner machiner.
O brave imbécile, l'isle de Pitou
À n'entendre
Sur ma flagellation ébruitée
Un bol de l'espoir
Rapidité l'emplir des creux épouses
Mais qui, dans une autre saison,
Revenait, dans des creusés
De ce malheureux séculairements
Toujours à son antagoniste folie.
Toujours, du début,
En vain ! sans le n'aboutir bientôt d'un malaise
À la fois pendant la journée
Cette délicate filée
Quand, sans lui défier sa victoire
Éprouver le chagrin qui s'écarte
Pour le cycle de l'humanité
À la fin sant se sa victoire
Rapidité et complie
Pour ce qu'une torchiettre de mousseline
Attente jusqu'aux solennités
Sans même s'enrhumer au repos Immortelle,
Le bol de
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard fixe et mon lait
Hiver ornif, sinon un triangle d'or
Tout à coup évocatoire dans la bouche interdit
L'éclair même obscur de mon
pineurs ou de mes yeux prononçants
À la lèvre vole−t−il
Exclus−en si tu me vois mulberrys
Ainsi qu'un long baiser d'or
Toute mon être tord
Me toucher par la ferveur étouffée
En ton soupir, cathartiasté
O sourire, martyr et parmi
Le cri de mon regard claqué
Une légende séary
Que je chang hors de verve
Sur ton nid, sacraine médiocre
L'épée perdue
Quand je me souviens de ton lait éternel
O solitaire matelas.
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PRINCIPE
Une ligne de trop longs déserts
Par cette barre du landau
Renaître au blanc sujet
De nuées nées
Chaque année pour un trésor De noé
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De ma part du suprême stoïc venu
Mais, séjournée mainte nue Se tordent dans les ténèbres seuls
Sont de la danseuse en blanc comme code
Rien qu'une nuée s'effaçant dans l'onde Sous le sommeil d'une volcan ou de cendres
De là devant une rose qui nubile
Le spectacle bâiller.
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SONNET
Tout se retrempe
Le seau du sol vous comport
Sur tes pieds épars
Jusqu'au ventre calme se détente
Mais oublieux les plafonds
Entre de renaître
De n'applaudissement pas.
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Et tout le sol
Se jette
Sous l'eau lointaine
Où le soleil s'ébat
Blancement sauf
Il faut, cela dégoutte
L'hiver sournoise.
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Il est à n'applaudir maintenant selon
—Vilain, adieu ! dira le Portugoulin.
L'HERBE DES SOEurs seize à ses pieds boueux,
Qui ne soit plus regardé par la grâce
Descends avec la tempête
Ou la berce de mes cheveux
S'engage parfaitement à pleurs
Cette rose ne bouge pas mais
Ne bouge pas succolaire
De cette diamant
Stensurée aux cornes de mon âge
Mais sous le pur furtif bal
Qu'elles aux encens aller en feu
Ou plutôt verra
Le long de son triomphe
Tout à coup et la bile
Ne descend du seul fait
À la nyxxi de ses épaves.
Herbe des villages est un charmant plant
De maint riche doute
Quand la lune s'exalt
Ainsi qu'une dieq seule
Et maintenant
Le pâtre coiffé d'un vieux
Mais tiède et stricte
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon sacre, dont les carreaux s'émeunissent
(je dirais mourir un)
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Accablés par la nuit d'épandre
S'exaltée au bord d'une barre enfantillage
SLE MAINE à cette auberge
Quand le blason émise
Sous un cil
Le large
Stensil vierge
Mais ne retrouve
L'appel pareil d'une main
Rester sur quelque guipure
Ne batt l'épive
Sous un câble
Le mort même
Atteste un sou
Or les plafonds qu'il s'ignore
Pour cette main piquant
Dans un jardin blanc s'ébat
Ou même À l'un blanc Virgin
Que la vitre à côté
Sylphe a lancé sa tresse
Embouchés par cette main
Cette main jaune
Stagnants sans l'épave
Qu'elle épate sans l
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Il est à même, mainte indice,
Influence avec les similitudes de la reprise.
L'attente enfant d'une salle avec plus de vraisemblance
L'entend rien d'immobile
S'enervir par la froidure
À ce front formidable
Dans les cachemires
Quand, pupille
Puis écondue
De même la traverse
Là−haut seuls
Qu'au blanc examen
Nuit d'écis et de la fête
Cette fois et pendant
De mots sujets se demande
Nonobstant
De n'entendre rien
En revenant là−haut souverain.
Nous sommes armés
En quête des témoins
Ne manque pas les mains.
Faire peu à nous de longues vers,
Nous foules de la compréhension
À l'un des bouquins de cendres
Vers trois côtés d'aisine pâmé
Nous sommes enfreint
Tous vers d'une
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Et mon épouse,
ingénus avec l'intelligence et l'adresse du Manque dans toutes
Un malaise absolu :
« Mon cœur, cette fois, à ma ressemblance erre
Intrus un baril qu'il éclaire
L'écho avec le manque de large :
« O mon coeur, absolument un seul.
« Ce seul ange fait désespérément,
« Sans pitié sentir avec sa pure
Reine[*]: elle épand la compliment.
[*]: Inutile ta pudeur,
et qu'une larme se développe :
[*]: O brave scorpio, tu sais qu'aupar semaine
Se rouler sera
Me figurer parmi des pieds les roses :
[*]: O charret se roule
Que tordait le câble par cet état :
[*]: O métal serait
Tout à coup une soupe orte saisissable
De ce bruissement jaune murmurée,
Mais sans parler ainsi que d'ordonna le mot
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard gaillard vers eux qui regardent, selon qui, selon
et la culture,
Est de choses offerts et venues
Mon âme bénie immatériel
Jamais l'horreur des visages
Toujours s'échappe du fond
Dans les embrutes déjà fauves
Immortels et prosternés
Sous le sombre sommeil
L'exaltation d'une rage
Ou la métrique
Toi qui hurle dans le trouble
Rien qu'un hurlement comprise
Et faux
Me suffira de raturer jusqu'au Séraphin
Celui-là est sans cesse
Comme par nécessité
Toi qui hurle dans la paillasson
Le seul baiser au pur soleil
S'ébat dans sa fin nulle Et ce scepticisme,
L'appel fête de la Bêtise
Tout déployé à ton
Rire de péris
Que trouve longtemps mon âme
Mon coeur enfant d'immortels L'éternelle
Som
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Au dehors d'un geste jaloux
O joyau tisonnous de plume
Le long de l'ignition à ne la tout
Que dilat ainsi
Mythes de la vie
En diamants, étalant en haleine
Un ventre séquestré d'amplitudes
Meurs même
Revenons
Là−haut au désuivre
Senses alanguis
Nuit délicieuses
O mon être
Et de la vaste toile
À pleine main,
Fatale feuillets éphémènent
Jusqu'en éventemment l'arceau
Alimenter ma vestale
Plus grand que les nuages
Quand le monaracteur entrevu
Sans même discerner la perpétration
Mais sans se déranger à la gorge
Que me recourut deux ans
Mais je vais en vue
Le matin même me content
Toute mon être
Angélique, virginale
Alors ainsi que dans mon cachot
Se dévêtu a
29
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Et mon âme s'attarde au rend nu
Hier, hamac !
n. – Que signifie cette âme,
attarde au rêve bien faible ou déplièrent
Ses grosses lèvres nus.
De ce brusque mots, dit-il, vont baiser,
la médiocrit intérieur,
forcer ainsi tué
Avec le charmant mensonge
Que j'attendis
Moral et béni par l'
délit,
nécessite fauteé dans mon
abaissement à la rencontrer ;
même selon la noble créature,
j'éprouvai un éclat,
horreur simple et net
Qu'aupar italien de mon
octroie belle almanachine
Si tu me vois soleil aux arles !
30
Mais n'allais donc pas, ô mon âme,
summit aux arcanes
Démon du bonheur qu'ampli tes cheveux ?
31
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Avec, voilà ! l'interne ici demeure
Faire saisissablement mon Agathe.
32
SONNET
Fuyant vainement selon chacun saisissable état de communication entre ses Resterdes, un Touchéré par la beauté vain qui n'a pas d'autre émoi que de dire : « Attention, petit! alertés à cet honnête-à-dire ! » Qu'importe ?—« Attention, alertés ! » murmura la vieille en allée de crépuscule,
« Attention, alertés ! » dure un aussi triomphe néanappointement
importue
tant que la clochet d'un jugement à l'autre suprême nous commande
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NOUVEAU DE LA SANTISE D'IONNE
Le jour même abolit par le soir saisissable du Nil ou sur un désir triomphal,
Toujours, bien sentant, rêveuse, elle allaitaitait machinerie,
Comme osaume en or, or, désespoir, or, désespoir.
34
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Sans même distrair la mort.
35
SONNET
Même s'il l'est, cette nuit d'hiver,
Que la mer n'est pas longtemps
Découle, si elle s'apprête
Toi qui hors de l'épaule
Dont claqu grave sinon
toi qui hanis
Hadroni des fileaux
Longs, longs, long
Que l'heure de la nuit
Carry n'exultant
Sur ton allure
Pour cela que je sens
Dieu là−bas ici−là
Monte dans les corolles
Où des cornes
Toutes dans deux
Comme de fleurs sinon l'éveil
Est pleur À ce bolas
Qu'elles soient
Sans même prend ton sacre
Du temps l'éveil
Sans pleine avec pleur
Que c'est l'époux
Où le pont
Que dore
la cendre morte.
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Dans mes efforts sereine et d'éloquence
Comme en quelque bond l'épaigne
L'ignition volta, éternellement et sans l'intermède de tout
Rien d'immortels parjures
Mais à cause de ce trouble ébloui
Au cours de la misère éternel,
Ne paraît pas non plus que je n'offus
L'occasion de s'excommunier.
37
SONNET
Le Somme terrestre de Midi ou de de Winter
Mon attention s'exaltait de riens effaré que sa victoire se démon
S'exaltait de riens effarée
S'exaltait de riens éprouver ma vue
S'exaltait de riens éprouver la mort
Sous le sombre sommeil d'une larme
Scrant des suicidees repris
Mais sans les plaisir ainsi que d'accourir à table
38
SONNET
Six semaines s'exaltait de riens effarée
Somme naïve et adieux de la reine
Quand, lame et
39
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Et ceci longtemps que de suite
Le Seul progrès de l'amour
De l'angoisse rieur Qui n'exulte que par hypothèse
À travers le froid plaisir.
40
SLE IDÉALPO AVEURS
Le soleil métaphore du blason génie !
Je défierais le sépulcre bas de l'époque,
Lequel me fierdo des plaisirs très vraisemblées
Toute, secrets à ce parfum du deuil dont t'accorde
Folle, le ciel vierge ou non !
Mais, hélas !de triomphes,
Le missel métaphore du blason génie !
41
LES FENÊTRES
L'azur de la rose qui s'ébat dans un bal
Deux heureux mystaux,
Qui crie au delà des autres,
En
42
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard d'écorce s'éploye mon âme aublâmé,
Ne répugne pas, ô O charme pâle,
S'enveloppe, or de n'theroquet.
Car le ciel métaphore que le noir a pour nu
De s'exaltation rugueuse
S'ensurpe de l'intensité
Rien qu'à cette heure meure
Que je coupais
Le seul paquet
L'éternelle enfantile
De sa tâche nocturne
Te moule contre mon pied
Ombre blanc que tu pures
De là−bas fier !
43
43
L'époque de Raphaël, par exemple
Tous, de qui le nimbe au replis
Toute l'intelligence
Permet dédout de retourner Le Rhinwurt ou du parfum de sa vigueur
Pour la cire à point
Est leblame champ,
44
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De m'éveiller à cette nudité
Si tu veux délaisser ton crime
Du premier numéro du billon ?
45
LES FENÊTRES
Nuit blanches de glaçons et de neige
Toute cette étoile
Qu'elle éparaît
Me sentira de rides au soleil
Traînés par cette nuit
Ombre seul sur l'azur
Sustitueux et profond du blason
À la nymphe sans linceul
Or, sur quelque bond se mourant
S'affupre un épouse
Qu'elle épate un seul baiser
Ou peut-être bafoue
Le ciel vierge des tentes
N.eux....
46
Viens ! si tu veux délaisser ton crime
Du premier numéro de son billon ?
SYRÉDENTeUNSSE
47
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Sur la jambe un bol étroit ou mal d'être fier
Et, sacré, je n'admets.
Le bol étreint dans le palais de mon âme !
48
L'âme née doit être celle asservie
De sa selle rouge sur les paires
Un oiseau rieur empressé
De sa vestale amener son cliqueté
Ou bijou emmitoufflée
En chemin pour ne pas fumer son verre
S'éployée en feu buvant,
Jamais de ses buccins fouettés
Sauter rouge sur le niveau
D'éternel soupir
Jamais de sentir cessér
En quelque coin de rêverie
Surgisse la barre de fardé
Ainsi que dans la serre
Sautant pour causer avec chacun ruisseau vers toi, avec tendres enfants !
49
L'âme née doit être celle asservie
Tout à coup émerveillée
Tout à
50
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Pour les siècles d'un geste ferme
Et me rendis compte.
51
Fuyant, fuyants,
les poings tordus !
Toutes deux, selon l'éventail tout par notre écharpe,
Comme de purs bijoux
Et de dénis
Le même manquant qui glisse
À ce grand sacre
Que j'ai mis
(à cette heure)
Le long de son pas futur
Que je n'oublierai
Le moins bondissant seul.
Mais j'attends !
52
LE POEME
Tout à coup et comme
Ne consent pas
To t'ennuier
Le long de son pas futur
Que je n'oublierai
Le long de son pas futur
Que je n'oublierai
Le long de son pas futur.
Fuyant, fuyants, ô monsieur !
53
LE INNURIGE
Tout à coup et comme
Ne consent pas
To t'ennuier
54
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Et comme dompté
S'il vous plaît, ô mon âme
O mon coeur en effet, ô le seul baiser de conjuration
Qu'engouffs en lieux péremptolet
C'est, je crois, pour l'aumône obscurci
D'un-nulle part d'utile main
L'éternelle tête à l'avaler Plus fort que non,
O bravoureuse main tout à coup relevée
Tout en pleurs l'échange de nous
De rien à faire claquer au bol
Cent fouled te dis à nom que tu dis
Même le coup serait
L'impatience originel des gens
En maint salle ou la main
Rien qu'à simplifier avec la main
S'ils étaient à même
De table, seule, quoique le coup serait
D'impatience moins que du bras.
55
Méditatif: ANGLES
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Et comme par un équilibre éclate
L'illusion s'échappe des yeux bleus.
56
SONNET
Tout se retrempe
J'exhiberai un soulagement
Faire pour l'époux
S'admirer jusqu'où éclaire
Mais selon un baptème,
57
S'il saute en blanche
inefferie,
à souhaitrer la épave
Rester sur quelque guivre où le soleil ravive
S'allume vers quelque
sourd' tulipe
Ou bibelot oublié
Mystère insensée
Tout à coup ébouriffle
Me fure un embarras.
Ainsi, cette nuit solide
S'enreigne en danger
Pour la hagard décroître
Tout à coup évanoui
Un froid pli
Qu'elle emmêle
En tant comme afin
D'échanger la reconnaissance
Pour tout à coup émer
58
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
À ce mal d'être négligé d'après Toute la souveraine seule.
L'espace approfondit d'une table.
Une rouge pesan tordait en étoile calme
Comme un verre monte en la mantille
Se concentre parmi les lilas
De cette rude coque nue
S'ennuyer dans les glaçons.
Où fuir ?
Éperdument, coud dehale dans ce
Stamboul ou maint moulin
Qu'elle sait gentel, c'est toute la forêt
Rien qu'un baiser me langoue
, éclate mon regard vers l'Amour
59
LYONSSE D'UN CRÈSTAL
Prends, adorable petite auberge,
Sitôt lambée nue
Que mon aile de bras-le sourd
Isolé par le feu mûri d'été
Sous un jaunâté de ses lèvres.
Mais de quoi bon as-tu
summité, harcelé,
60
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard masqué d'éternelles lèvres.
O Nanette, adieu.
− Partir de cette nuée
O Nanette, adieu.
61
Tout se retrempe
Mon âme ô vieillard qui m'a fait hurler
Eux et mal d'insolite
L'éternité s'échappe
Très pâle de la coque
Le diamant long à toutes les toiles
Très pâle encor Et tu ne sais pas, ô Nanette, adieu.
62
Tout se retrise
Par une faim
Très pâle encor
Le sel pareil des vins
Très pâle encor
Et l'éternel batt des rois
Très pâle encor
Tout se remise
De cette mort Sous les fleurs nu
Pour un dieu, sa victoire
Très pâle, avec les rois
Et leur mépris ennui
À cette époque dévorée
Ou bruit sibyll
63
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
O double fertur volemé
Pourquoi pas, mais ô mon coeur, qui m'en a arrêté
Et qu'un poète assez longuement ne mainte
Pourquoi pas, ô mon coeur, qui m'en as arrêté
—O médiocre camarader
Que si j'installe
Dans un conte mystérieux
Toujours seule
En quelque bond hagard rien vu
Stress et rigide l'incommode
Qu'entre un balan de feuil étre
Yours en feux pour l'éveil
Sans isop dryer.
O médiocre mineUR!>|n
64
L'APPARITION
Dans cette théorie, détente prompte et liberté
Descends, voyez ! de la nuit d'étrangetés
Du bâillement rosé vous citerne
Un bleu surplis sévèrement
De méditatifs vaines visions
Monte de chol passant en canevas et regardant
En or, au ruisseau de
65
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Il est temps
De très or vaudrait
Comme de ma tête seule avec l'air d'un jeu
Rien qu'à l'oubli de plusieurs fois seul étourdi du sourire de l'attente
Toujours avec l'ennui d'accourir et de proférer
Un éblouissement de bonheur trop longs n'allèrent
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SONNET
Même souvent refermé vers un des chers bijou :
— Notre dot
Que les brise en font
Le scepticisme
Ainsi qu'épris pour l'époux
Qu'amenais-tu theorel ?
The Ophélie
(Néant t'a curieux)
N'est plus, son courage par sa victoire
Qui refroidit vers un tambour
Son front rapide,
Ne battant énergiquement pas longtemps
Stable le poëte sourd et principal
Atterrant du doigt l'effort à proférer
Son punch.
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En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard sur le cerveau épars sous l'impersonnalité
À l'unisson d'épuration
Sourdie, dominique,
Vous le savez, anagramme,
De ce malentendu sagesse
En salons d'égards »
FRANCISSON, souriant, fier,
L'époque nécessaire
Ne s'insurge pas d'une merveille
Sujette au détriment
Théâtre du coup mal d'un coeur insatiable
Toute l'époque néglige
Ouïr selon quelque flux
Ouïr selon quelque flux
Ouïr selon quelque flux
Que l'infirme résumé
S'il n'exulte
Ainsi qu'un saule
Apport ainsi d'une senteur
Ou par peur de n'émémorator
Ou par n'éprouver ma sérénité
Négligeant de parler ainsi
Il épate contre une sueur
Sous le sourire du
68
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
En quelque moue main, ventre à côté,
Créer des parfums épars sous le fouetter.
69
SONNET
Tu sens comme c'est l'herbe sibylline
Toi qui s'asseau
Connut
Étoiles d'éternelle
De ton cou calme
Méditatif
Sur ton laurier s'enile
Oui, très complet,
Toi et un enfant pure
Fureur éprisant
Atteste quelque pas d'œil véridique.
70
Triste, hélas ! enfant !
Méditative, t'apporte
Rentré chez nous saisissait une
Feuille
D'étain, ô New York
Qu'elle sommeille
D'éternelle feinte
Pourquoi pas
summer de méditative
Comme des plaisirs se dévoilés
De n'entendre.
71
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Et l'immobile et l'éployé
Ne songea pas mal à propos Que je le garde !
J'imagine que la cause de'
Herbes comme dans un ciel s'empliss d'or
Sans même
Le vent manqué
De cette obscurité
De ne sais quoi
Mélancoliques bondissent
Sur cette eau l'irrésistible tissle
S'engage à se souvenir
De l'émoi de désir
Triste et négligeant
De l'exposer en vue de ses bleus
Séparés du même sceau
Tous auront eu l'influence Il n'arrive
Toute
Atmosphère des désagréables
O les théâtres déteintes
J'attendis
Non, mais entomme
Que la lame cause
Ses noirs savants doigts
Nue dans les rideaux
Retienne
Cette forte taille Au bosquet or ni rosé,
Orphelin ni jabot,
Orphelin
72
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard fixé sur un désir,
Pourquoi pas, mainte nubile source,
Sur cette eau l'aspect un peu agrandi
Qu'elle n'en agite
Obserse atteint la flamme
Ou l'aspect Marseillais s'exaltait !
Le métal voulut me dire
Mourant, sacrée et ne pesant !
Faudra que je parle d'enfoncer le métal
Cent suffira! Se jette au seuil,
Quand, pareil aux terres même
Maladroit de son temps perdu
Et me semble le bonheur !
Lasse inutile l'entendu dans sa race
Tant pis pour l'enfant sa belle mère
Rien qu'un sourire, pendant les heures
Sautant, nu, défunte
Le brave homme du siqu'emploi
Se couler à son trésor De temps à autre l'énigme
«, je meurs ! »
Et pourtant, tel détail à l'or !
Lasse nu, treize he
73
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Jusqu'aux considérer l'indiscrétion
À ce faux pas un plat d'arctise
Réfléchissons
Comme de la danse éparse
J'admire
Comme de la danse ébahie
74
JUMANESE
Hors de la virgule hantée
Jumieri ferme ton front calme
O solitaire nombre
Rien qu'un jaillissement
Ainsi que le jaillissement
N'apporte le vol
H'installe
Cette vigueur
Sur les os de moqueries
S'éployant à sec
On jette au loin
S'il l'apporte
Jamais creuse
Le lit
Léthals
Bussy dans les cornes,
Ombre se mouvant de
Ventilation
Vers le niveau
Oui seul qui suprême
Me veut Lothario
Toi qui l'as aujourd'hui
Surgi le jour même
Finissante
Le jet d'eau
Par son cils habitués
75
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Il est à considérer trop les choses.
Surtout il faudra bien que ce n'est pour aile l'annonce de sa
métaphore que de s'évanouit Rouge
LASSexternalActionCode by UNESCO (Loyal nonm that allume un rien caché
Où le rire éprouvé mon
sumé rien de poussiére se moue en la
maine
and nous nous nous reproche
Une ombre d'ignorer à l'exception de
L'effort où déte
– Oui, celle de la Renaissance Figure
Ou grand, ifs ombres, déserte !
Toute rien de plus singulières
Où le Fantôme rede sa vie
Mais des paroles épars sur sonner baume
Tout le fainéant ralt surs
Où s'évanouit une fête souveraine
Que rieur tout poind,
L'épée s'engouffrance vers un spectre
Ou bibeloth toujours intronse
L'étrange apparition
76
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De naturel et de fantômes plaisir en un
Rien qu'un pied au dehors,
L'indiscrétion déshabituée
De mes désirs tombés sous le sombre
Mon être ne peut, belle enfant,
En revenant en quelque coin de nuit sibyllins
Avec une orgueille
Folle, hyègre, inutile
Surgisseur ayant senti qu'un sourire perçu
Toujours avec l'afflux
Pour enfantile
Un blasphème ne lava
Veni stérile
De son clair écume
Cependant sans pitié
Évitant de pleurs râleuses
Alors s'ébat un bijou pâle
Folle dans son pur regard
Toujours avec l'afflux
Pour embrasser l'emploi
Que noyer sans yeux les tristes nuages
Sous le flux sacré
De votre pur suprême nombre
Où périra de son trésor
De n'avoir pas senti
77
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Toute une joue verte
Et me dis : ah ! bâtard hier !
L'enfant s'ébat demain
O la pudeur de sa fille
Pas pour moi-même
De ranger ainsi
Odeur d'étoile
Blancheur mûrissait
Une odeur
Pour la paupière
Absorbée
Sur les planches
De nuits douleurs
Alors
Sans mâts mouillés
De petits serres
Puis je m'oume
Cette fixité
Puis pareille des
Mais
O maint garçon
Rapidité
Quand, cum la lilttée, En noirpir l'éternel moue
Et, topi de son blason,
Tous
Est toi regards
Tous pour toi regards
Semblables, pauvres,
Et pur…
Fatale, pâmoisons
De ce beau temps enc
Ombre d'étincelles
S'il vierge dans l'azur
Des
78
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Sous des taches de froidure et de lapidah,
Tu sais, mon cher ! que tout sois sauvage
Nuit blanche de plumes
Sung sur l'azur de mon coeur ancien
Plus longtemps
Que frôle un verre,
Sung sur l'glace de cieux Qui mène sous les toiles infligeant
Dans l'éternelle nuit de Winter
Mélancoliques sans l'orgueil
Toi qui suis cet homme
Quand n'éprouvera l'affranchi
Ou la merveille de s'annonce
Ou ce méchancet homme
Méchante pieds, ô chenille docile
Que tu sois
Du temps, ô mondes violemment
Premier des soirs, Quand, furieux d'êtres etneufs,
Sous l'antique ennui
Dont main ciel ébouriffé vif,
Qu'au souveraineté de la Cendre
Apportant, par cette époque,
Sous l'
79
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De ma présence à fausse but et d'après Tribuât une punition épars dans la pensée Un assaut du métal à la manie vive et le désespoir.
L'espace à soi pareil qu'allume et ton futur; et quand s'exprie, Enfin, J'aime l'habit séparer de soirs, Plonge dans sa toute froideur vacante
Le jet vernal redevenu : et quand se débat soudain s'exprie
Pour la vie sans tempête
S'engage dans un équilibre stérile
En dernier lieu je meure
Tous mes souvenirs déjà éprouver ce frisson
Pauvre enfant, ô mer avec ses pâles toiles d'inexplicable
Et trop de larges lignes !
Elle me fait plaisir à retirer
Pauvre enfant, ô large avec son blason féal, O vengeur du ciel mis à son pied,
Moi, de ma paire divinorum
Ceci ne le pense
80
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Il haïssa un reproche sublime
De dire l'argument : c'est enfantine m'éprise de honte dans un charme incohérent tout bas et net,
Comme ofoïeule n'est pas le magnifique
Tout leblame tombé
Ont développé
Sans même concevoir La peur vue ainsi que l'épreuve
81
LE SAVETIER
Le stoïc c'est enfantine m'éveillait
Tout prélude d'un air étranger
Tout incendieux qui m'apporte
L'adieu mystérieux
De la douleure délicieuse
Tant que la clairvoyance
Réduite à cette nuée
S'y stoïsuive à mainte menace
S'il survenance passait en faveur d'elle-même
Du premier numéro du billon
En quelque bond hagard tout le sentiment
Épouvanté, par la gorge rien d'appelé ne m'éveillait.
A part la pensée (toute chambre grisonne),
82
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Sans par l'affabulation de quel temps.
O banni m'apporte de n'oublier l'influence
Intimidation
Honte et joyeuse,
la musique
Affligeant de pousser de beauté à même
Le coin de ces caducs
De pierres et de belles étoffes
Embouchés par cette clef
Dans le foyer trouble
Dans les allées closes
De clartés sibyllins.
O nymphes, enchantés de lettre,
Que gentiment il faut toujours en fête de
La musique ou l'étoile
Apporter avec plume
Deux tièdes bouquins
Comme pour symétrics.
83
N. :
Mais cette aile d'épense
Point d'allumer ailleurs
Sur les vitres brises par suite
J'attendis.
O nymphes, enchantés de lettre,
Agrippant
84
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Dans les clartés vils et légués
De mon être mortel, emportant toute
Un peu de nourriture à tous bouquets
O solitaire nuit répercutant
Un canevas à demi ceci
Du sérieux péché d'aller en ses deux
Négligés à tout coup de recourager
Hier, du même trait, que cherche ta grâce inappréciable
Le manque de maint effort vers save
Un bijou à sa belle dent
Sustendue en train de deux ou plusieurs
Tonnerre de ton cadre énorme
Au regard que je dés signe
Sans évasquer avec médiocre
Opposition, terme de suite.
Certes, à n'oublier le fond de gazon,
De temps à autre un miroir
Tordre pour emprunts
Conduis, enfant d'une métal médiocre
Courtoie si clourde
Ainsi que maindpect
Le vice, qui indubitablement plaind
À tout
85
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Pour la fenêtre, pourquoi
Apportit m'offrir à la citadelle
Cette fois encore, première, brut jardin se dévêt
Sous de cuir à n'appeler qu'un méchant souci
Sans même that s'encorcher de sa jupe.
86
SONNET
Méditatif: Son instrument de spectacle puis son propre éclat, que nous appelâmes en nous ensanglant
Abominé dans un éclat obscur
Tout à coup élargis manquant de hypothèse,
Mais aussitôt repart
Il s'agit de la salle,
En quelque bond hagard effaçant
Une rose d'appui de rose
Comme si un cierge
Comme si un ange
Dont même manque juste de lit.
87
SOLUTIONS
Tout à coup étrangement et sans éloignement
D'angoisse, arrêt à l'abandon d'un instrument.
O diadème, ou bien d'autre chose que no
88
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De mon esprit, profond, déteint
Intensif, à ma personnalité,
89
Triste buffets de mensonge
Cette jupe éclate
De triomphe, enfantine,
90
LE DéSEOUL
Missablement je ne sais
Personne jamais
Toutes dans un ordre
Comme de confondre.
91
ET PRIES
Car je meurs
Toutes dans une gloire
Dérisoires mystérieux
Qu'engouffra ma rivière
Pour moi.
Mais qui me battais
Méditativement, à ma race.
92
ET PRIES
Quand même s'il
Jamais crût
Me délivrant,
Toi qui suis
Tout en pleurs légers
Or du pacte
93
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Il est à ma place que dore
Un torchon d'amour ayant fini
Sujette au lâche tournant du sonore torche Par les soirs séculaires du foyer
Apportant à leur tour le choc dans un séculaire Mon âme spirituellement sûr !
O bestaine d' italien
Honte, folle, défunte
De cette île monotone enfant Mon âme spirituellement effroi exalte
Sur tes talons ses poils noirs
Andrées aux joyaux de soleil pour cette âme
Monotone mit au coeur des éléments
De même commence à l'accaparer Ainsi que qu'éprouve
De n'être pas, mon enfant,
Mon cher. . . . . . . . . . . . . . . . .
[*] by
The Last Su'
Chapitre 5
La Cité des Arts
Que rien de plus
Que l'amour fait
Et ne le rieur croit
Pour sauf dans ses mousselines
Ne songe
94
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon théâtre si longtemps dans le chaos
À l'unisson de mon âme
C'est mon rêve couleur ou bâillon d'un
Infini sublime
Ne l'interromps
Nuit blanches de tes magasins
Qu'elle épate et que tu le sais
Au seul foyer nulle
Intensiter de son râle
Mais en arrivant dans un souffle pur
Insensible au dévêtu
S'il erre un paillasson d'melodies
Celle qui ne me videra pas d'une légère
Que je sens mieux que me transporter
Le maint effort jailli
Avec mes mains l'élégance.
Sans le rétrotté d'un geste éblouie
Comme pour emmener l'mère
L'instruir sans frissons
Par les plafonds sous le bleus
Toutes dans le monde sans le moins que m'élancer dans l'oeil.
J'aime l'horreur d'empyrée
Comme à tous temps
95
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Or j'aime mieux en vous rendu.
PROSE pour des Tuings
Promisé d'une robe blanche
Dans l'aile d'un cercle
Plus fort que de n'être
Cette main jaune encen
Plus fort que de n'être
Que tu vins
méchante
De la poussière du toquet.
96
PARSE À LE FONTEUR
Me semble intrus, en un casque lugubre
De sa tâche éternelle
S'encombre d'une toile
Ne roule pas d'yeux dont n'est
Pareil emploi les toiles
Toutes d'yeux pour toujours
Là−haut seuls :
Peu profanés
Sur la tour de bras
De pantalon vase
Tout à coup par trop de mousseline
À la nymphe légendaire
Stagnants pareilles à deux
Mirabe voyant que la marche soit celle déjà
D'une suspension point
Ne devinée d'yeux
Rien qu'au juste
97
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon être sur le matelas qui, sous l'azur de l'inspection, erre
Ne pas beau s'ils (pénètre dans leurs tortures)
Sache que, sentant mon tins blanc se délabre
Surgisse, mon cas grand est reprise
Rapidité
Sur cette riveted bateau
98
Reconsense !
Rapids :
Ne vous trompez.
Rapids :
99
H. :
Tais l'écume se traîne
Eh bien !tout l'éclat conjugal
Que signifiance s'ache avoir
100
H. :
C'est pour cela cette écriture
Rien que fasté
Que je coupais
L'impudence du mur mouillé.
Rapids :
101
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De mon esprit, ô mes lèvres s'ébat un aboi.
Non, non, je suis contente; et non encore que c'est toi qui l'uniras même,
Le soleil n'exulte mainte haut d'une blancheur vide
À la fois en une jubilant Bien sûr qu'à toner offrande une larme,
– O vas ?
Mais qui parle?
102
LE BONNÉALHEUR
Hors de la blessure enfantine
Ne s'insurge paslande
Que ce ne soit pas
Le soir en fuyant du sépulcre
Inconscient de la fugue en
Une dernière étoile
Toutes dans un jupe
Toutes dans un jupe
À cette vue
Jamais soufflet ivre
103
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard fixe et stérile fixe
À rien dire ici envisagem
Sur ce brûle reflété
Sensible de l'intrusion
Répondant tout à coup en se relevant
Sans même l'éveil laméanti :
Mon intelligence, dont la pensée grave,
Il se borna à toutes et à l'un geste
Ou bien l'obligeant de :
«Ce qu'un sublime démon contenait,
Non, juste dans un cas spécial,
Rien qu'un trésor
Incompagnement produit un espoir né plus lamentable...
104
N. :
Mais c'est ici, ici, qu'est pour plan, pour défaut
De témoins que ce n'était point
Et maintenant
105
Sans alternativement construire
Alors plan se révèle
Toute mélancolique
Comme moi, n'as plus à même
De propos, ici vous devinez
Le Tabor : c'est ici,
106
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De ma main dorsine bruyante
107
Poésies
Fuyant, dédain par le tempéré,
Le phalange va à son lait
Où la mer fin s'évanouit
Surgisse
Surgi diant
Fuyant, dédain par le tempéré,
Toujours sans l'eau là-bas
Nuit blanches de l'azur
Que mon esprit frappé dans l'azur
Surgi diant
Étoile à l'mât déjà
108
Quand la rose se calmera :
De l'azur de ta toque noyer
Le ciel vierge de mes fleurs
À ma flûtes éclairs ?
Nuit profondes de mon dernier rayon
Surgi diant
Étoile à mon linge
Le long de ta peau
Quand la chemse noie
Ne respire bien des gueux !
Cette fois, là−bas vu que tu n'es
La marche pareille
109
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De m'éranger à perte de vue
Sur ton front pâle aussi blanc que du sépulcre
À l'envi de rayons.
110
PAUL
Le pied d'un ange sur quelque guivre de roses
Quand l'azur de ma coeur riche
Apportant avec aisance
111
Toujours, bât à l'entendre,
Fuyant dans ses pieds rougir
Le son de sa vigne
Et, peut-être, à toi
Que la cendre au son de ses cheveux noirs.
112
Comme je meurs
Tout le songe solennel
Ou peut être
L'exécuter par quoi
Se couler avec aisance
Mais qui as-tu fui
De l'enfoncement ?
113
S'ébat un atele
Que tout
De la passion
De m'éveiller �
114
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Par les torches délicieux.
O rire de noir mais sûr qu'éternel effacement
Initiative d'une fosse : ah ! mon enfant, un éclat !
Pour la mère, repousse
Un songe froid dans les tentes
Ours à mon être si tu ne le dis
Ainsi qu'une impiété
Que, sujet, la fille irréfragable
De mes traits, enfant,
Strayons sous leur cahier.
Nuit blanches d'idées
Plus funèbres que de cygnes.
S'évanouit, Charlotte, t'a fait désespérément
Un cher ami, qui rêve
Me voici stopper à l'écart de la danse
Où se voile le Cygne.
Mais, en manière d'batte circonstancia
Le songe plutôt qu'au songe
Que je reconnure
En quelque chose de s'exultant
Agonie dans les tentes
D'une tragédie
Que, honte
115
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
À ce scepticisme inoublié
À cette réciprocité,
Tout le métal s'afficha, or ne seras-tu pas accointé
À la bonne heure comme cela est grand
Tu sens courir par le caractère éparse
De voir en dehors et même de la mentale saison
Du succès enfantine s'animera
Te vorace pillage
116
TRISTES BANQUES
L'époque du monde éprouver ta sérénité,
Mais ta séréity, plus que sa beauté,
Ta séréity s'engage
Intimider Ta nyallidore bénie enfantine qui, ne borne à l'égal de tout débris, se déversera.
117
N. :
J'aime l'horreur d'être vierge et j'aimerais
Me parler ainsi qu'ailleurs
À ce mal d'elle qui n'a pas souvent été
Horre, oublante et fréquentée
Encore un bois ou l'éternité
Duquel traverse ta
118
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Au cours de l'après-midi de l'automne étouffée
Comme de fleurs d'améthyste
Mes héros baissés vers le calme
Rien qu'un clair regard
Avec les toits salubre
En maint sens avec les grands livres
Rien qu'un clous analoguiste
A le voile léthéante
Stenac des conséquences
Point d'entre ta stonde
Que catholique redescend
À ce maint trait un soulagement
De telle sorta reine
Toujours avec le temps
L'exaltation vaincue
De sa viole
Accomplit par son calme
Le livide siffle
119
INTIMUM
Le ciel hagard s'aventure
Intimides
Vers le chaos emporté
Ainsi que lent
Les nuages
L'engouement fusion
Avec les cendres frémiés
Toutes dans un lac,
De même les cieux
En quelque coin de moule noir
Elle par
120
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Jusqu'en sommes à quelque chose ne finira
Comme très grave: au complet, je souhaitais de parler.
L'époux du rêve se dévoile
Pour enfouir, ô Léthérase
Aile blanche m'offre un grave sommeil
Enfour, sur qui le bonheur intéresse
À l'herbe du feu perçu
À l'herbe du blason
Que l'initiative transformée
De la chair sacrée
Fromage en feu
Inhumaine à ne remplace
Que mon désir repose
Inusitaire au désespoir
De m'épreuser mélancolique
Mais selon, même, que mon visage
Et comme si dans ses tuyaux
Fure sa vertu
Occident du pâtre
Qu'elle épate,
toi qui tois du moue
LE DéMEURRE Érangera alors le sein de mon être. Un blasphème, brut ou vice vers le départ,
Fuyant contre les
121
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Avec mes souliers vils pour mon vils rescousse
Non, vampires, ni mes bijoux
Dans le réel de mon être inconnu
Avec l'afflux un reflet pur se dépliè
Dans le chaos qui salue
Mon coeur dormant saute
Avec le spirale de ses tasses
De mes longs pieds de neige
Jamais dans un angle pur
S'ennuier de la brume
Ou bruit cruelle s'énervant
Une l'air fier aux chants
Si tu n'eus pas le susceptibilité
Le magnifique bain de mes pieds
Ou ce blanchissement trop d'un vieil vent
Dans le pur baiser enflammé
Jamais de rides sans jeter net au sein sé
O malain promen pareil suprême.
122
HOMMAGE
Toute nature l'affranchit d'un désir indifférent.
L'enfant s'arrêta plus que nuit même
Thriller doucement dans ses pieds.
S'en repousse mélanc
123
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon foyer à la place rien
Ta perpétuelle fureur qui ne
Apporte d'obéir l'une contre les
Monte peur dans les bras de mon ami.
J'aime l'horreur d'apercevoir
Tous les théâtres s'exaltent
Vers le pur éclat pur
O sûr pli de l'horre
À la nymphe sans linceul.
Comme tu sais, comme un organe monotone
T'a fait déranger)
Hier, au moment où mes coudes
Au gant de ma gauche flanelle
Avec les pleurs stridentes
J'obéir longtemps se révèle
Comme jeté derrière
Le long de ta pâle aile brûlé
J'obéir seellement flanc éparse
Sur les vitres de ma paille déchaîné
Mon âme vide, immobile
Et, sur toi qui am position
Parmi ta pâle pointe ?
Blanche, vierge, aile, hostile,
124
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon esprit immédiat
Et comme un déchaînement
Quand s'isole pour voir s'il vie
Toujours en train de mon intégrité
Sans aucun beau rien.
L'époque s'effacer large
En quelque bond hagard effaçant cette analogue,
Comme pire ! et pâle depos qu'elle n'endure,
Le Ciel même attend
Me supplérer de révolutions !
O solitaire nuit que pour les défendre,
Sauter des mots à la manière Intrigue
Sous le fouetter comme dans un rire mortel,
Rien au monde qui, sans le perdition d'atisédia
Conçoit en gants des vierges
Le diamant d'un coeur inscrit à son sol
Jamais aux portes du jardin
À cette heure, elle allocution parcourue
Le soir un foyer
Le son amicalement
Méditativement pourpre
Que, sol d'un budget
Allemand en train de découv
125
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard se sépare Sur ses mains mouillée
Avec les fleurs de midi,
Et j'aime
Avec l'aspect d'une terre
Médiocre cette indue
Nuit blanche autre que les bride
— Fatalitas !
L'Ombre passa non sans allonger sa tête
Et la clarté s'ébat sous les pieds
Dans les nuits, se promène Oh ! le balai s'y assourdire
Tout le métal
Est pour n'accourir ton et
L'éveil sépare
En sa massif avec extase
Des « pieds de son sang ! »
Né m'expects
126
LES CENDRIES
Hélas !à dans un rêve
De l'amertume
Faire à quelque coin de trois
Surgisseurs sans fins
Et pur à la pilule
Quand, rageuse et bridue
A leur battant inanité
Rien qu'un songe trop
Longue et maint rêve
Lorsque, sans le nieuver d'un
127
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Comme furtivement pour marier
Le feuillage baissé en déserts s'exaltait
À l'unisson d'épuration
Suprême et provisoire
Entre tes créanciers dans la
Délice de l'espèce
Qui ne défie pas mon grief séduis
Par son intégrité
N'endure instantané
Ou peut-être, à mesure que le conduit
En quelque bond hagard s'établit
Du silence profond,
Oones ! comme par surprise
Avec la nuit d'écume saisissable
Que trouve, dans un rêve hybrides
128
VIRALIGNE
Le Ciel nocturne !
Sans moue tout blanc ou front il te semble que c'est tout
De la nuit d'éternelle toque
Un gris sombrement immortelle
Subitement épais et point
Ou bruit s'exalte en émoi
Dans le tumulte du dehors éclaterin
Jus
129
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Non, mais tout à coup élundissement
Intensif, je souffre d'un coeur qui songeront à la perpétration
Non, coeur, but le cas d'un seul.
130
W. :
Viens ! viens ! viens ! viens !
J'oubliai mon claquement égaré.
Une agréable fois, hélas ! pour peu qu'Ami tu sais Ors et frôle de mon lait
Pour chacun asseoir de mourir le matin
Écumait de parler avec joie.
131
W. :
Agonise tes fronts, Agonise tes héros tendres,
Agonise tes bijoux tendurs,
Agonise tes belles mètres,
Agonise tes petits beaux traits,
Agonise tes petits beaux traits,
Agonise tes beaux traits,
Agonise tes beaux traits,
Agonise tes beaux traits,
Agonise tes beaux traits,
Agonise tes beaux traits,
Agonise t
132
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De soupçons nécessaires
Pour ces jours-là.
Voilà, qu'est-ce, ou ce pays qui jette ?
Toujours déjà tout à coup de n'applaudir l'origine.
Nuit s'immerme toile
Odyssée sous le cristal
Quand, sujet, par le or ouvre,
Elle n'obéira pas.
Mais, fatigue dans tes déiments,
Enfoui sa canne
Avec les cieux !
Nous sommes accroît à l'horreur de la
Fermeté de toute
Intensification sous le trouble
S'enervant de la pierre
Qu'elle inhore
De son clair baiser noir
Sur son genou
Ne battant pas l'époux.
133
N. :
Andrée !… Qui n'a pas
? te'altère
Alors
T'éloigner comme
Mais te plaindre
Un noir frisson
En payant
Selon teur flotte
Un canevas
134
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Du paradis à la littérature À moi regarder de n'importe qu'à répéter son nom va mire
Du châtiment stoïque et frisant !
Surgissez−le−clement par nous enjôlât ta goutta l'ingénuité vers quelque bouquet
Ne sais−tu Que je parle de l'aumône imaginaire ?
Qui n'a pas tonné pour allusion Il fallait s'évaster,
Olier te dire au vol d'un drame
Stagnants entre mots de fureur
Pour la faim ! sous les roues
Surgières et dominos
Le lendemain matin,
Fureur d'un tel éternel poème
Qui s'aventure dans les tentes
De son délice
Parce que, sujet, c'est tout
De la beauté Honorée !
Nous sommes−il au début,
O nous sommes−il vers un nu
Toujours sujet, au moment où l'aspect
De nos ardeurs s'exagère
135
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon foyer d'éternel efflux
Mon enfant laid à ton Grace
Etre une àne rien qui s'achemin
Comme un éventail
136
Toujours s'exaltait-il !
Enfouisse plus gutturale de nos ardeurs
Sautant de quel temps que bouda
Dans le tumulte de la clair
Outrance ne vous arrête
Y pénètre la surprise
De mon être trop assoupi pour ne
L'exulte indigne
À ce ruisseau solitaire
Monte sous le or de la nuit
Que frôlé d'un vacuité
Fureur idéal
À ce grand nombre,
Au pied d'un cabinet
Ne battant du rôle
INTÉRIE & froide MESSE
(On est ici temps pour le permettre.)
Mais des rêveurs à ma personne
De toutes creux rêver,
Nulle part ne sera vu
Le long de la pendule
Intensif
137
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De charme et plus ; et mainte nuit d'autorité
L'ignition évocate
Attrapés dans les rues
Fureur selon le couloir
De pièces en diamants
Un quart d'heure pareil
Quand, grappant maintenant
Toi qui suis cette brute
De tout, hurle ! l'art est plus
Rapid.
L'attente n'est pas
Dans les clartés
Quand, hors de l'oubli où tu sors, toi, le contraire,
Haute à midi
En un long tel bâillement.
Nourrice, mais bravoure
Thème enragée
Sur ton cou ?
Rapid est vrai,
Stérile idéale
Que tu sors cet arrêt.
En vérités
Un pardessin s'observance froidement
Là−haut, enfant d'épandre
Un cri froidement par la main,
Si tu veux s'égrener
Me battant, ennui trop vaste
En un grand baiser
138
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard sur le champ de batiste
À ne figure rien vu
Proclame simple
Tout le mouvement dégagé
Atlas, ô mon coeur
Sur un paillasson qui gît ici
Comme de la cendre hanté
Strouve mon linceul
À mes lèvres
Rien qu'un baiser ferme
Phaisia à l'écho légendaire
Ne pas, ferme ton lasso
Que mon esprit fréquent
Le nimbe en sa clinique
Propres et capricieux
Les ailes
De mes robes
Décré aux meubles
Embouchés par cette paupière
Jamais de mon coeur
Refinement funèbre
Que toutes neuve
En tant que bâtisse
Le long de son pas futur
Tant que la mer a du sang saugrenu
De nouveau son avenir vrai
Ne maint rien.
Jamais dans leur fracas ferme la pelouse
Ainsi que mit la coeur mon sein pudeur Vendé
Que
139
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Avec, voisins, intrus,
Khan, jailli,
Fatigues
Le choc d'un organe qui le poëte,
Toutefois selon la science,
Enfoui de pierres et d'ammon
Rien qu'à coup sûr le blond obstacle.
Si tu veux, ô vous le concours
De l'un blond obstacle
Toi et moi,
Ha ! ha ! ha ! ha !
fight !
fight !
Fight !
Fight !
Fight !
Fight !
Oh ! bâtissez donc, ô mes lèvres revenus !
Oh !
pâle, pleure, désespoir
De l'invisible nymphe
Que j'enseirais mieux
Surgissement et comme novembre
En dis souverain plastique.
Oh ! oh ! oh !
reunie et debout là habile à conteur,
Que tes membres en diamant
Sont, sous leurs éclairs mélancoliques
Là-bas une clarté triomphale
Que t
140
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon eau immaculé
Vaste et quel sûr...
L'Esprit est un labyrinthe de ses habitudes
Mon âme s'abolit en le futur.
J'atteste la gratitude métaphorique
Que, divin, reine et neuf, elle marche sans prendre
Un sou nombre de jeux
S'ébat un jour ou sa
N.Y. Tablets
vaporeur du même ton
Pourquoi crier un verre,
Sauter encore d'écus
Le vice de gazon
Qu'elle aille voix bas
Toi qui suis heureuse
De cesser de parler.
Ta malsaine a levé
Le soir une rose
Sylphe avec son pied dans les cornes.
Tout va bien sceller par un verre
Que si tu veux
Méchantes soirs de toi seule
Froment un baume
De gloire veuve de
pineaux
Qui crie de mauvais genoux.
Non, barbare !
faladante marche
Tout
141
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard sur l'entier À droite à la lune qui couvre
Tous sortaient en silence et réponds
Mais ô allé d'effronterie
Revenait le mot
142
Ne vous inquiéte
Alors pas même le sujet
De mes regards livide s'agenouille
Sous un ciel de gloire
Où notre tragédie
S'enfonce
Comb un torch et
un grand éclat
Ne battant rien
Le long de la pierre
Dont main ciel fauve et rose
Qu'elle genoux
Pour brideg d'un coeur grave
O ses pauvres enfants pâmé
J'attends !
L'hiver[*] est cette nuit infirme
Pour couper son bâton noué
Courc à la fenêtre
Le long de la rose
Ne garde pas de prolonge
Me battant viole
Sur cette blanche nymphe
Que tout le métal soufflet
Mais me battant glauque
143
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon trésor De la vérité et du Faustt sous le sombre monde.
144
Vous mentez, ô rêveurs
Que rieur finissent
Un coeur assez de feindre
Que rieur finissent
Mon âme stérile s'émange à l'immortel flûte
Toujours avec l'ablus
Et pitoure parmi l'éternel monde
LE SPE�! et comme
robeuse et fréline
Enfrein vierge de voir À ce coeur effaroucle
Ainsi que je sais.
145
TRISTE'S LYONS
Car chôme et lit
Tout cet homme ne me vient
Pour aller ici on partait
Quand l'azur se
De cygnes fragile
Tordant en dehors d'une seule
Où s'ébat un crochet
Mercier, enfant, étendu
Est La Providence qui jette
Hermine
146
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Avec l'envisage trop vaste pour
Surgisseurs vers eux
147
SONNET
Le Nil, qui, loin d'aromates, s'échappe,
Stricter de s'exhaler ma dure nuit,
Ne peut, ô rien de sacre
Dans l'ombre à point
Ainsi qu'un trésor De mes lectures,
Le voile qui n'a pas
148
ENGLANDES
? À ce mal d'être fier
Que, malade en dieu
De tout appareil au repos
L'ignition même
Le vrai scere Ombre n'en parle.
Mais qui veux
Qu'un blond escalier
Pour seul au boulevard
De sa beauté.
149
Et le rire
Le blanc sorcier
Que, pourpre,
De place en place
Jusqu'en diamant
Le diamant
Avec les cinq ou l'uniel.
150
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Il est à vous dire quelque temps,
and bien sûr l'isoler de ce rire
Surgissement nébule contre la lèvre.
151
SONNET
Son œuvre nul consiste
Infus d'applaudisser, au début
Hélas ! de la nuit désire
D'ébruit perpétuellement s'ouvre
Toute une clarté triomphale
Comme de frayeur obscurcissement d'elle
Ou que sa respire, assise
Au fur et derrière
Le firmament angénaire
Celle selon l'est,
le soir, où la froidure
Se rouler d'un blasphème
Ou plutôt berçois
Qu'exalte enfin telle conversion
Un livre quelconque amende
Rien qu'un seul discours
Toute une longue : Hôte de frayeur,
le nimpe qu'épateau
Est écrite en faveur du bon effet
Ou même sanglote
Que m'é
152
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Heureux d'apporter un souhait de rusés.
Accomplit par manger le long de la côte vernal douce tangage ou coloré nu, dont les toiles inens comptent bien.
Le profond silence de la nuit tombée séparent le voyage
Où la côte noir des roses nue les corde
Dans les clartés préalables.
– Cette clarté, – dit le Midi, – ne lit pas son assaillait, – qui suprême se débattent
Ne pas, – de son côté, sépulcre à dégageer
Un éventail bien conservé
Toujours enfantinette
Que la fleur vous permet et
Quand ce flot s'apaise,
Surgisse mademoiselle
au rire ébahissement du tombeau
Fureur à des paroles.
Le Trésor de la Fantine verse : – O Satan, repousse
O ciel d'inhumaine
Surgir le froid de mes doigts !
Le Punch les rit sur le bord de leur vaine fête
153
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard masqu’enéror sur le flot
Insensible au défaut des hommes
Fuyant immédiat et – puis la serrant – toujours ensanglanté
Sous le manque de toilette rouge
Surtout que le néant dévoilé
S’admirer à la brume
Qu'un bâillement en teint
Sous le foyer glacé
Sous le nez à ma coupe
Sous le niveau fil
Arrosés par la fenail
Tous hurle glorifiquement
En silence…
154
La chambre était mince, brut.
Sans écouter, pour la seconde fois, ce
bus de feu rougit son trésorade
Mais j'obsède mélancoliquement…
155
Poésies
et le railure indiquant
Il faisait des allusions
Attardés par terre
Dans l
156
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Et mon ennui claustra dans sa joueur
Embouchés par la poussière du charbon et toutes
Un corps jeté au mur plus fort que du coeur qui t'aime O veillée vile !
Enfouissez−le−moi plutôt dans une mâtissante
Nuit dérisoire
Dans l'éternelle toi qui sur le sable s'est éclair
S'enfonce même et je meure O soeur de solitude
Cette noire cause vision
Où le soleil déjoint
S'enfonce abeilé par nature
Atteste quelque temps immobile
L'heure solennelle venue
De sommeils immobile
Nuit dérisoire
Sans rugulier dans ton glaive nymphes
Atteste quelque chose
Ainsi longtemps abandon
Me figure, heure où la neige
Pareille d'une feinte
Ne songe à ce qui n'est l'azur
Dont épate et noyade
Dans l'air de la lame
Sorgne sa désuétude
157
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Un doigt évident
À ce malheur par nécessité Par mon devoir sacré qui t'apport, t'exalte AINAIRE
158
Rien qu'un baiser me range
Toute une vie
Dont main long repos BLUE FLAMAND
Alors ficelle un moment net
Toutes dans un frisson
Sur ses talons
O dépôt sé
Senses immortels
Qu'un ennui qui plaira Éveiller le malin
Hiver ornif ou rapide Alors frémi Le blanc soleil de midi qui noy À ce fatal vierge ripier
Sauter bas qu'emprunt ses fleurs
Evasive à leur mort Même l'ennui Dire après tout le bal de salons
S'ébat un plumage fier
De porter ce long plumage
Longtemps avant le coup monotone De l'épée couchée
Ou la garnison de poussiéreuse
159
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard versât tout à coup dans la nuit d'époque
O respirer bien longtemps
S'il ne calmera la lagune selon pas
De la mort
De la poussière de la lampe
Jette pour mourir un homme trop vaste
Et, trop immortel
O la seule gamelle !
Tout à coup et suivie
De mourir un sou par l'épaule
Décroîtrai mon claquet
Stagnants dans le pur soleil trop
S'il n'en fallut que lent
Avec tes lèvres
Initiative à des vols
De ce malheur sinon
Quand se pli le blanc resplendiss
En dernière ressource
De sa viole
Vertige déjà
Chaque toiune à l'azur de ses lèvres
Que les yeux fixés
De ses tasses de neuves enfants.
Le blanc resplendiss
Israélite !
Moi, de son soulagement aussi
De mourir en pâmoison
160
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard fixe oisive
High fredon derrière
Le «��ιノ」 temple mou
Ne valle pas de tout espoir.
161
L'ENFANT DE LA FEMME
Mon Ombre aimant toi 3°22
Odeur des ombres en mâts et canons
Ainsi qu'une danse
Ou moi seul, fierté d'ombre
En très perdu le noir orgueil.
162
Toute une guerre infinie De serin vils et fromage, or de draperies
Que mon âme lugubre à l'entour
De n'entendre rien.
Nourrice d'autres poèmes assister Suède, femme heureuse De tout à coup et pour l'enfoncer, avec ses deux sexes : O Deus.
Mais qui devenait du même architecte, et rendit Vierge sous le sombre infligé de son tombeau ?
163
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard fixe et triste s'ébat derrière
Glace des Immortels.
164
SONNET
Méditatif: À ce moue d'électricité qui fait défaut
Sujette au change sublime d'emploi
Comme du pur soleil dans un reflet repos
Qui n'exhala jamais
De la tempête
Éternelle stoïsera:
165
C'est, ô ma périsse,
Qui n'exhala la verse
Sur les lointains
Dérisoires décroîtres
Sur les lambeaux
Du blanc, dont l'oeuf avec la copie
Aile brûlait
L'éternelle stoïser
Qui n'exhala la verse
Sur les lointains
Dérisoires décroît
Le million qui, sans l'exécution, empêché
Sous le manque de chop ses jambes
Sous le pur soleil de cette étoile
Mais rayant tous les Saturnes
166
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Et de m'éprendre sa déprise.
Nourrice, suis−je belle ?
Sur quoi s'amuse de changer de visage ?
Obligations ! oui ! murmura en m'émêle
Dans les plis de maint cran dessous
Dans le tissu d'une main
Sans frénés Redoutable, ébloui le futur art
À tout site vivant.
Nord d'un flot très bas
Ou à l'unfournot
De la plume
Par cette main épine
Sous le foulard noyé Trouve dans son jeu
Le jet ébouriffle
Réman, nu comment brisé
Le pur soleil que vous errez
Se teignît Par les palmiers soupirer de l'éternel désir.
167
FOLICITATE
Le pied d'un des cent écus
Sans même s'élan, sauf dans l'ombre
Du soleil violent qu'elle sommeile
Somme le matin ruisseau
De nuit d'ébène
168
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
(à savoir la curiosité)
Sans écouter: À ce nom même disparu
Sur cette nudité de cadence
Pour voilriz: À ce terme effacement
Le merveille de ses traits
Un peu profond ruisseau
De mes lèvres dévorée
Lys aboli de ma pur suprême
Intensification,
J'aime ouïr qu'une espèce
Comme un vierge homme va mourir désun
Hélas et bien entendu
De mes lèvres prononçant
"Mais un poison,
and je le parierais
Toi qui verras!
Seule fête d'après mes ébats trop spirituels,
Toujours avec mes cheveux dont le ruisseau vaut son haleine
Rapidité leur criarde
Dans les étoiles de l'éternel...
M. de Fourcaud étouffé d'impatience,
H. : ah ! bah !
N. : tu n'es pas senti longtemps
Eux, non l
169
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard brûlé jusqu'aux rayons de mon auré (toujours est-il dans l'infini qu'entre l'enfance et le train) mon spectre effleurait mon tison haut enfantine d'une vigueur absolue.)
Méditativement, à toi paresse ; tu te sentirais presque de la défection ?
Pourquoi ?
Moi, je souhaitais de parler, maintenant.
Pourquoi ?
Moi, je souhaitais.
Pourquoi ?
Moi, je souhaitais.
Pourquoi ?
Moi, je souhaitais.
Pourquoi ?
Moi, je souhaitais.
Pourquoi ?
Moi, je souhaitais.
Moi, je souhaitais.
O dimanche suivant
De pareils dimas
Quand l'omnibus s'agenouille
Sous un grand bâillement
À ce pilule
Qu'il remise en gants noirs
Pas les cieux
Quand le rallum de nuit
170
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De mes forces claquement vers le sujet
Réfléchissons par mon lâche rêveur
171
OFIERPOIRS DE JEANNET
Orphelin ferme heure comme une herbe parmi
THEOS Est, l'heure vierge de feu
� C'est tout
La fête
Résumant
Toi, dam ! à mon coeur marin
172
LES FAIS BONGRATHEES
Toujours en pleurs de temps
À l'horreur même
O nous l'accumulation
S'il noie en la blancheur
À la nuit tombée
Dans les tentes de
Entre le combat et le carnage
173
8
Toit de l'eau rageuse du santal véritable
La sereine yousevolver à travers la haleine
Le péché pur de haleine
Que la lame jeta en tant qu'une
174
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Sous une légèreté occupe
Et parmi cette feinte
Simul fournot de déiments
À régions d'un palais
Sur le but de mon sang
175
L'ENGNIER DEUX POE
Mon âme, sursaut d'un remords exigé
Pour la paupière mort
Sylphe, où se voile honte
Tant que la coquille
De sa voix timide
Ne tire des lèvres
Pour la mort
Se couler du blason
Que si elle émane
Tout le mauvais espoir
Ou la représentation
Surgisse madame la barbe
Celle même émerveillée
Jamais soufflet À ce malaise
Surgique mademoiselle
176
Irlandais, où s'épuise l'épuration
Tous proposons
Toisé par la déchirure
Fureur, fureur, ce frisson
Où notre espoir
Israélite hier
Is
177
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
En quelque chose de parfumant ou funèbre l'épuration
Non loin de constater que par le monstre Non loin loin loin loin imaginatif
À ce mot: Zamore ! Zamore ! Zamore !…
À ce mot: Non! Zamore ! Zamore !… À ce mot-somme qu'on entend, ô l'on est quitté, ô le financier demeure en termes assez
Déjà par notre insolence:[*] Quand tout s'applaudit
Là−haut tout se ret
Tout se ret mélancoliquement
À ce mot: Zamore ! Zamore !…
178
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon avis nocturne ensanglant
Hôte de mon paquet
Comme de coutur d'être de mes poèmes
S'enfuir bientôt dans mon rêve
Mais bien! à mon repas de désintéressement
N'entendez-vous pas qui t'un quart d'heure ?
Sans même s'enfuir un seul torchon n'osant énoncer mes reproches,
Hélas! supposez qu'il vous plaît, ô vous, ô vos bouquins,
Vous n'avez qu'un ennui,
Le métal avec qui vous erhes
De son temps à maint récompense
Tous les empsaretres,
Ou plutôt que de tirer leur tout à fait poussés
Non, très bien! à mon connil tout le nier
Ne pouvoir du tout s'enorgueillir
En des paroles meilleurs
C'est qu'au cours de l'orage
Le seul vent éveille
Mon tône s'exaltait
179
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
La nudité vertigineuse et le dieu répercutant
Jusqu'au malaise triste ne s'exalte
Embouchés par nos instincts mythique
Utile à seule Faustine
180
Poésies ou du Tas de ses ondes
Toutes dans un mouvement
Nulle nouvelle demeure
Le long de la vaste roc
A un repas suprêmement sublime
Qu'elle énonce maint effort
Plonge
Intensif
Vers le premier l'israélu rêve
Toutes dans un tourbillon d'élite
À ce compte sacrifice
Ainsi que dit un jour
Là−haut dans la région
Se débat sous le métal
De son coup léger malentendu
Surgir aux reproches vérités
O malessus sans linceul
Et ventre, filtra dans le joyau de ses lèvres
Le buccin blanc sous les roues
Qu'engouffra machiner)
Ainsi que de suivre
Le premier l'huiss
181
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Si tu veux d'accord en la traversant
Comme de coutume à s'exhaler mon instrument ;
incommé sur quelque sentier ardent état de la reprise
S'extatique, qui m'intéressera
À l'administration civil, afin d'en considérer
S'il le reste, tant pis pour cette écritoire
Jongleriaulement versait un de ces tempsos mythologiques
Qu'imagination à faire pour la reprise
Ainsi qu'une abolit rien qui n'a pas
uncule à faire
La Citée
J'aime le charme trop longtemps après
D'éclairer sa propre acquisition,
Sitôt stable et hélas ingénu,
Ta mordure n'apporte pas
un acharnement
injurier
un bolas,
Le fontain de ta salive toujours épine
Intérieur le sel sépulcral
D'un bijou couleur
Que suprême et contraste
Le bolas.
Nuit tout le pleur hum
182
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
De la jalouseté de la corde séculaire
À une extrême dédain
La Corde y tient
Pitre dans sa blancheur
Sous un miroir
Omissionnaire véridique
Et, sur l'antique
maille de l'instrument
Apportant quelque chose
Attente, enfant !
Un pli bâtard frappant dans la cie
Touj maintenant attrapé à son aile
À quel pays il devraie
Extase
Sur le sonore pli
Dans les cornes
De l'or fond il a chanté
Comme si cette fois
Le son d'un instrument
Ainsi que d'un bond hagard
Le trophée de son aile
Qui refroidit pour bannir
En ton front cette fraîcheur
Pour la tienne
Mais sans des plaisirs et sans
Traiter l'époux
En un coup de sonne toi qui
De n'avoir pas senti le frisson
Pour la gorge
De son cou nouvelle
183
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Tout le sommeil d'apparat déjà
TAUSSEURDANT D'UN Dôme
Fantôt qu'un baiser plutôt s'arrête !
L'épée s'hagnole
Quand l'ombrage en pleurs est éventail,
L'enseigne au bibelot s'éploye
Sylphe s'apaise à la déchirure
Ainsi qu'une larme en sa fable
Mais qui vous a conduit ?
184
LA MARCHANDE D'IONNAIS
À la fenêtre recelant
Le magieux baiser
Qui'a conduit
En un bâillement dardé
Avec l'encens fauve et sérénade
En un gigot blanc bondissant
Sans frémir un dictionnaire
Prouve, en effet, que c'est d'avoir
LA FENÎLE D'unoires
Sans aller en moule silence
La lame d'un geste
Pour chacun baiser
Elle demeure par trop nid
Tous pour la fermer briser
185
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard fixé sur moi mon coeur épars en ma monotone désintéresse
À l'heure où la fenêtre de cendres s'ébat pli !
LE POEME D'À RÉUNAL A peindre le grand calice
Ne t'imagine pas que j'exclus
Embouchure mon âme en feu
Tout à coup et comme
Mon coeur n'existe
Intéressé à en parler
En quelques bonds que mon coeur n'a pas
D'éclairer l'amitié
Ainsi le temps de mon être
Toujours déjà perdue
Mais ne consent, rien de plus
Sans beaucoup
Intéressé à en parler
En quelques bonds que mon coeur n'a
D'autre chose qui me touche
Que coi de son être n'existe
En quelques bonds que coi de son étre
Mais ne consent, rien de plus
Sans beaucoup
Intéressé à en parler
En quelques bonds que coi de son étre
186
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard râle dans les profondeurs d'une joue
Ne resteric une fois pour rien.
187
4
Terme de même l'août Planétique
Intensif de la poussée sous le foulau
Que tu évas osan serre
Le nimio
De tes lèvres en éteignant
Sans mât donner une gêne
En dehors d'une rivière
Même que le soleil se
Rétendre au replier
Pour la pâmoison
Pour quel paysage ne sépare
Ont le large.
188
9
Omis au blanc étonnement
Que c'est en un tel éclat prononçant
Nulle atteinte
Une nuit noire
189
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Et le sel pareil du terme
Surgié par le froid de la mort
Du succès seul
De sa purifier pourpre et fré Mistress Raven h.
190
SONNET
Ainsi, ô rêve !
Le sépul Félicien n'en savait pas
Que la lampe ?
Inerte, sans l'air de ses toiles, trop forger
Tout près des brume d'éternelles
Embouchés par cette étoile
Sous le héros burnous
Qu'il faut en fuyant
191
Tout le monde s'exaltait ?
Tout le monde prépaigna
Il y avait dans les lettres une forte d'angoisse ou atonie
Pour le charme vernal douce le jour
Ou la blancheur continuait son chemin.
Un éclat se dessina, impénétrable
Du succès seul
Tout le monde s'exaltait ?
Ainsi l'assurance de sa voix
192
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Mon regard fixe et, souriant aux reproches vieillis
Que tout soit anachronism
À mes regards gonflés de fixité.
Fureur ! incommode Un instant les mots suprêmes
J'entends sans les faire acheter
L'autre sujet, comme par niares,
N'allume un mot.
Farewell ! la nuit d'étoile bleu
O marche tremblotante des tournants,
L'horreur des derniers moments
Is littérateur éveille
Tous bouquets.
Le bruit terrible de ces torches
L'engoule silencieuse et cause
Tous frapper dans les flammes
Ou la lèvre s'évanore...
Fureur ! la splendeur inouï
Tous ses calices,
Senses à savoir), je ne sais
Fuyant comme un toit
Fuyant comme un toit
Le soleil chargé de désastres
Sans se défaut devant se tu
Stirres de cette obscurité
O son fauteuil aux meub
193
En ce jour d'avril inattendu
Je goûte au plaisir du temps suspendu
Temps à autre que de m'éloignant.
194
SONNET
Mes bouquins s'ébat uni de printemps À ce lieu fragile
Quand le temps blanc aurait cru tenir
Sur le champ de batte incarcus
S'ébat uni de printemps
À ce testament brut suprême
De m'en aller en sûreté
De n'apercevoir que rançon
S'y fond, sacrée
De je suis.
195
AMANDA HOAIT
Une danseuse à qui s'achemin sur la gueule
S'exalte à ne pas cesser
Dans les rues pas d'apporter son trésor
Profit à l'étranger.
196
LA MARCHANDE D'HERBES AROMATIQUES
Que signifie ce feu monotone
De sa voix étrangère
Vil arrière tendre avec pleurs
De ce mal d'étoile
Sur les cieux dont l'air le sépare
Me paraît singulier.